Les négociations vont bon train en vue d’un cessez le feu en Ukraine. Pour commencer, il faudrait que tout le monde soit d’accord sur le fait que c’est la Russie qui doit , la première, cesser de bombarder son voisin. Le cessez le feu ne peut pas être le fait de l’agressé, mais bien celui de l’agresseur. Et si ces négociations n’aboutissaient pas à quelque chose de valable ? On ose à peine y penser.
Pourquoi ce serait effrayant si l’Ukraine perdait la guerre ? Pourquoi ce serait effroyable si la Russie gagnait la guerre ? Pour une raison toute simple : parce qu’on sait ce qu’il adviendrait des Ukrainiens et de l’Ukraine. Et qu’adviendrait-il, demandent des voix innocentes, naïves ou malveillantes ? Une catastrophe, voici ce qui adviendrait. Car on sait de quoi les Russes sont capables. Ils ont déjà envahi un pays qui ne les menaçait pas. Ils ont saccagé ce pays, causant des milliers de morts et de blessés, détruisant des infrastructures indispensables, affamant, violant, torturant des innocents. Des gens qui ne font que résister ! Face à ce peuple qui s’entête à ne pas céder, les Russes se déshonorent, grâce à leur président, en s’entêtant à continuer une guerre dont plus personne ne sait à quoi elle rime. Mais s’ils s’emparaient de l’Ukraine, une chose est sûre : ils anéantiraient les Ukrainiens. Rappelez-vous les populations déportées sous le régime communiste/stalinien : des milliers ? Non ! Des millions de personnes arrêtées, jugées et déportées : opposants réels ou non, clergé, paysans, prétendus saboteurs, etc. En 1932-1933, des millions de morts en Ukraine et dans d’autres régions par la famine organisée. En 1941, les citoyens d’origine allemande « éloignés » on ne sait où qui se sont évaporés de la surface du globe. Et des peuples entiers condamnés à un exil douloureux (assignés à résidence dans des régions arides ou glacées de l'Asie soviétique, ou carrément zekisés au goulag). En vrac : Kalmouks, Tchétchènes, Ingouches, Tatars de Crimée, Arméniens, Karatchaïs, Baltes, Polonais, Moldaves, Finnois, n’en jetez plus, la coupe est pleine. Si l’armée russe gagne, ce sera l’horreur. Les hommes : fusillés ou réduits en esclavage. Les femmes : emprisonnées et violées. Les enfants : russisés et rééduqués. La langue ukrainienne oubliée. Le pays repeuplé d’allogènes. Ses ressources naturelles pillées. C’est à peine croyable ? Très juste. Et pourtant, tout, dans l’histoire, prouve que le pire est parfois inévitable. Ce ne sont pas les exemples qui manquent sur la planète, ni hier, ni aujourd’hui… Et qui peut croire que les Russes ne feraient pas aux Ukrainiens ce qu’ils ont fait à d’autres ? Ils leur ont déjà fait tant de mal... Alors oui il faut aider l’Ukraine, ou alors il faut renoncer à se regarder dans une glace.
Mon 6ème Arsène Lupin à paraître :

A paraître prochainement :

Un documentaire intitulé Boire passe à la télévision. Loin de nous l'idée que l'alcool n'est pas un fléau. C'en est un, ô combien ! Mais à quand un documentaire intitulé Drogue ou Shoot mortel ou Trip fatal...? C'est à croire que dans les hautes sphères dirigeantes on craint davantage la réaction des narcotrafiquants que celle des viticulteurs. Il est vrai que ces derniers règlent rarement leurs comptes de château à château à coups de kalachnikovs avec des balles perdues à gauche ou à droite ! Hypothèse ? Seulement ? Il serait bien qu'on nous prouve le mal-fondé d'une telle idée...
La présidente de l'Assemblée nationale a fait une délaration marquante au sujet du "truc qui tombe du ciel", c.-à-d. un héritage. Bien sûr, elle ne visait pas les grosses fortunes, mais les biens que des Français moyens léguent à leur descendance. Et qu'il faut taxer. Et bien des gens sont d'accord avec elle. Ce sont d'aileurs les mêmes qui trouvent scandaleux que des enfants ne reprennent pas la ferme de leurs parents, ou la boulangerie, ou la boucherie, ou la cordonnerie, bref la toute petite entreprise familiale. Mais s'ils la reprennent, indignation: c'est un truc qui leur tombe du ciel, donc il faut taxer. On tourne en rond ? Eh oui...
On se pose la question : le Louvre était-il bien sécurisé (ou: assez sécurisé)?
Mais on peut se poser une autre question : dans quel monde vit-on où il faille tout sécuriser ? Un musée n'aurait pas besoin d'être sécurisé en temps normal. Mais de nos jours, si. Et ce n'est pas tout. Il faut aussi et surtout sécuriser : les petits comme les grands musées; les écoles (publiques et privées); les églises (Notre-Dame de Paris et la chapelle de Trifouilly-le-Oies); les synagogues; les mosquées; les mairies; les forêts; les ponts; les voies ferrées; les gares; tous les transports en commun; les commissariats; les banques; les restaurants; les ports; les cités; les Champs-Elysées; la Sorbonne; les stades; les salles de concert; les théâtres; les champs de courses; les plages; les montagnes; les vignobles; les châteaux (de tous les siècles); le Tour de France; les cochonnailles; les bus et les abribus; la fête de la musique; l'Eurovision; les aéroports; les usines chimiques; les PME; les carrefours dangereux; les chantiers; les pistes de ski et les téléphériques; les parcs municipaux; les crèches; les bureaux de vote; les bibliothèques; les croix, les statues, les monuments aux mort et les cimetières; les calanques du sud et les falaises d'Etretat; les grands magasins; les écoles de conduite, les hôpitaux et les centres médicaux; les parcs de stationnement; les sources; les endroits de pèlerinage; les parkings souterrains; les librairies; les bijouteries; les boucheries-charcutieries; les fermes avec les étables et les granges; les lieux de baignade; les barrages; les centrales nucléaires; les éoliennes; les panneaux solaires; la biodiversité; l'espace rempli de satellites; bref à peu près tout. Si quelque chose a été oublié, il faut le signaler afin que cette omission n'entraîne pas de graves conséquences...!